Programme- A fond derrière Nicolas SARKOZY pour 2012



Candidature à la Présidence des Jeunes Pop :

Pourquoi je me présente ?

Cette décision, je l’ai prise au terme d’une très longue réflexion. Je suis engagé depuis plus de 10 ans au sein de notre famille politique. Les rencontres sur le terrain, les différentes élections et les échanges d’idées avec les militants, nos contradicteurs et les élus me permettent aujourd’hui d’affirmer que j’ai une certaine connaissance de ce qu’est notre mouvement des jeunes de droite.

Cette expérience jeune de 10 ans m’amène à poser un constat sévère. En effet, j’ai vue de nombreux Secrétaire nationaux ou des Présidents Jeunes Populaires gérer notre mouvement avec de la réussite ou parfois de mauvais choix mais jamais notre mouvement jeune n’a été aussi mal géré, aussi laissé à l’abandon que lors de ces deux dernières années.

Ainsi, l’image qui est actuellement renvoyé à l’ensemble des jeunes français est tout simplement déplorable. Nous passons pour ce que nous ne sommes pas, c’est-à-dire des militants à col blanc inféodés aux organisations patronales.

Nous avons totalement abandonné le terrain, pour nous consacrer à la « mauvaise communication » et au « buzz permanent et contreproductif ». Nous nous coupons de notre cible, les jeunes de 16 à 30 ans. Nous ne leur parlons pas, nous n’allons pas à leurs rencontres. Nous produisons des livres blancs et des propositions à la pelle et qui de toute façon ne seront pas reprises. Nous ne défendons pas les réformes de Nicolas SARKOZY en faveur de la jeunesse.

Ainsi, les Jeunes Populaires n’ont à aucun moment fait connaître la réforme sur l’autonomie des universités, réforme jugée la plus importante de la 1ère moitié du quinquennat de Nicolas SARKOZY.

Est-ce que le Président des Jeunes Populaires a médiatisé le fait que le gouvernement investi pour cette année 1,3 milliard d’euros dans l’emploi et la formation d’ici juin 2010 afin d’aider plus de 500 000 jeunes ?

Est-ce que les Jeunes Populaires  mettent en avant le fait que 11 milliards d'euros, dont 8 milliards serviront sur les 35 du Grand Emprunt permettra de faire émerger 5 à 10 campus d'excellence ayant les moyens, la taille critique et les liens avec les entreprises qui leur permettront de rivaliser avec les meilleurs universités mondiales ? Cela concerne toujours les jeunes alors pourquoi cet immobilisme, et ce manque d’envie de mettre en avant le travail du Président de la République ?

Un campus d’excellence sur Aubervilliers en Seine-Saint-Denis verra le jour en 2012 sous l’impulsion du Président de la République et là encore les Jeunes Populaires n’en parlent pas.

Un service civique va être créé pour 50 000 jeunes de 16 à 25 ans. Qui s’en soucis au sein des instances nationales Jeunes Populaires ? Personne.

En un peu moins de 3 ans, Nicolas SARKOZY a fait plus pour la jeunesse que 30 ans de politique antérieur. Et pourtant, les jeunes français ne croient pas dans le Président de la République.

Ils ne sont ainsi que 16 % à voter pour les listes UMP, comme cela était le cas pour ces Européennes alors que 28 % d’entre eux ont donné leur suffrage au Parti Socialiste.

Les jeunes quittent notre Mouvement passant de 37 000 à 11 000 adhérents  sur plus de 250 000 adhérents UMP (source : Le Point du 19/11/2009), car ils ne se retrouvent plus dans les « Jeunes Populaires », alors qu’ils approuvent la politique du Président de la République.

Ainsi, je ne peux me résoudre à voir notre Mouvement Jeune périclité de la sorte. Un Mouvement Jeune auquel j’ai pu participer dès sa création. 

Je ne peux me résoudre à voir toute une jeunesse tourner le dos à un grand réformateur qu’est Nicolas SARKOZY.

Alors qu’actuellement la Majorité Présidentielle est au creux de la vague, que la crise a laissé les finances publiques exsangues, que les réformes ne sont pas comprises par les français, que les élections régionales ne nous sont pas favorables, perdre le vote des 18- 30 ans signifierait la défaite du Président de la République aux présidentielles de 2012.

Je ne peux me résoudre à voir un autre Président de la République que Nicolas SARKOZY à la tête de l’Etat en  2012, alors que tant de réformes restent à accomplir.

Le projet de Nicolas SARKOZY pour le retour de la France au premier plan est un projet sur 10 ans et nous ne pouvons nous arrêter au milieu du chemin.

Je souhaiterai apporter mon expérience de Président du Mouvement National des Jeunes Sarkozystes que j’ai fondé sans aucun moyen, qui rassemble plus de 1200 adhérents et qui prouve chaque jour sur le terrain comme sur l’Internet qu’il est devenu incontournable.

Je souhaiterai apporter mes méthodes de travail avant-gardistes afin de relancer la machine Jeune Populaire.

Je souhaiterai être le manager à plein temps dont a besoin notre Mouvement.

Je suis enfin décidé à mener cette campagne pour la Présidence des Jeunes Populaires jusqu’au bout et cela avec force et conviction. Je n’accepterai aucun arrangement qui puisse conduire à l’abandon de la liste que je mènerai, car je reste persuadé de la pertinence de mon projet pour la réussite des Jeunes Populaires mais aussi et surtout la réélection du Président de la République.

                                                                                              Mike BOROWSKI

Qui je suis ?

Parcours & Engagement
Déjà adhérent RPR, j’ai décidé de m’investir dans mon département d’adoption afin d’apporter ma petite pierre dans le développement de la Seine-Saint-Denis.
Ce département  étant majoritairement à gauche je pensais que la meilleure manière d’apprendre mon métier est d’aller à l’endroit ou le combat est le plus difficile. Je savais que je prendrai des coups et au cours de ces dernières années j’ai beaucoup appris de mes prédécesseurs et des élus face à nos contradicteurs. J’ai donc commencé comme responsable jeune populaire du 93 où j’ai développé le mouvement jeune de l’UMP depuis sa création en 2003 et ce jusqu’en septembre 2008.
J’ai commencé comme Assistant Parlementaire de Gilles CARREZ Député du Val-de-Marne où mon rôle consistait à travailler à l’implantation sur Champigny de Vincent CHRIQUI Conseiller Parlementaire de François FILLON.
Actuellement, je travaille au Sénat comme Assistant Parlementaire auprès du Sénateur Maire de Neuilly-Plaisance M. Christian Demuynck sur les questions de pauvreté et d’exclusion, mais aussi sur la banlieue. Cette dernière doit être réinvestie par nos politiques, avec une vision autre que celle que l’on a imposée depuis 30 ans, et qui a toujours conduit à l’échec.
Dernièrement, il a été rapporteur à la mission d’information sur la jeunesse. Plusieurs propositions de lois assez importantes pour nos jeunes ont été adoptées comme le « service civique » qui a été voté à l’unanimité. Cette action me donne un autre avantage indéniable, en effet cela m’a permis de travailler sur des données relatives à la jeunesse Française dans son ensemble mieux la connaître et trouver certaines réponses à leurs attentes.
Au lendemain de la victoire de Nicolas SARKOZY, j’ai cofondé le Mouvement National des Jeunes Sarkozystes avec Mlle Madi SEYDI. Notre mouvement compte aujourd’hui près de 1300 membres qui se revendiquent Sarkozystes mais qui n’ont pas forcément d’attache avec l’UMP. Cette connaissance des motivations et attentes de la population non encartés me permet de revendiquer une certaine légitimité à la présidence des jeunes populaires. J’ai créé cette association car beaucoup de jeunes se retrouvent dans les idées de notre président. Son dynamisme, sa volonté de vouloir faire changer les choses parlent aux jeunes dans leur ensemble. Il m’a suffit de le faire savoir sur le terrain comme sur la toile, d’expliquer les réformes au mieux et fidéliser nos adhérents.
Enfin, j’ai été élu délégué de la 1ère circonscription de Seine-Saint-Denis en novembre 2008. J’ai donc la responsabilité de développer les sections UMP des 4 villes que compte ma circonscription (L’Ile Saint-Denis, La Plaine Saint-Denis, Epinay-sur-Seine, Saint-Ouen) et d’assurer l’animation locale (tractage, réunion publique, café politique, contacts avec les associations…)

A)                  Des failles particulières 

1) Pas de manager à la tête des Jeunes Pop
2) Populaires les jeunes de l’UMP ?
3)  Les RDJ trop souvent en manque de leadership
4)  Un manque de repères
5)  Les Jeunes Pop pas à l’image des jeunes de France
6)  Les partis associés jeunes méprisés
7)  Concurrence inutile avec les jeunes de l’UNI
8)  Manque de travail avec les partis jeunes européens
9)  Pas de proposition phare pour la jeunesse française

Failles des Jeunes Populaires

Personne morale ou physique, « nul n’est parfait ». Connaître les failles de notre fonctionnement, est en finalité un atout. Avoir un regard critique sur nous-mêmes nous permet de prévenir mais aussi de guérir avant que ces failles ne nous portent trop atteintes. Alors qu’elles sont nos faiblesses ? Qu’elles sont nos points sensibles ? Pour le découvrir j’ai écouté, discuté, regardé autour de moi mais aussi dans les autres fédérations que j’ai visité avec le Mouvement des Jeunes Sarkozystes.

Dans cette recherche j’ai retenu des faiblesses qui ne sont pas irrémédiables mais qui si elles subsistent nous feront perdre les élections de 2012. Ces points faibles ne sont pas des fatalités, effacer ces lacunes ne me semble pas utopique.

           
1)   Pas de manager à la tête des Jeunes Pop


Selon mes différentes rencontres avec les jeunes français, les élus ou nos contradicteurs on constate qu’il manque à la tête des Jeunes Populaires un manager solide, qui sache nous représenter, qui sache donner des directives et qui a une certaine vision de ce que doit être un mouvement jeune de droite. Seulement, aujourd’hui rien n’est tenu, c’est l’anarchie complète. Les Jeunes Populaires ne savent pas où ils vont puisque son président ne le sait pas lui-même. Les Responsables Jeunes n’ont pas d’objectifs à réaliser que cela soit en terme d’adhésions, de réunions publiques, de militantisme de terrain, de communiqué de presse. Où s’ils ont des objectifs, ceux-ci ne sont pas vérifiés par les Responsables de Zone ou par le Président lui-même. Sinon comment peut-on atteindre l’objectif des 500 000 adhérents pour 2012 ? A cette vitesse cet objectif ne sera jamais atteint et ce sera pour nous une véritable défaite avec tous ce que cela peut engendrer comme conséquences néfastes.
En tant que délégué de circonscription dans mon département je dois rendre des comptes tous les mois auprès du Secrétaire Général et si je ne le fais pas on me retire ma délégation. Rien de tout cela n’est fait par le Bureau National, celui-ci est totalement amorphe et ne cherche qu’à « buzzer sur la toile », ce qui est particulièrement léger il faut le concevoir.
Nous avons besoin d’une personne d’autorité et de sérieux à la tête de notre mouvement jeune, Fabien SAN NICOLAS représentait un peu de cette autorité.  
Nous avons besoin d’un Président des Jeunes Pop qui représente en quelque sorte NICOLAS SARKOZY auprès des jeunes. Il se doit d’expliquer les réformes aider ses équipes mais surtout permettre aux citoyens de mieux comprendre les réformes mais surtout convaincre de leurs utilités. Il faut une personne qui estime Nicolas Sarkozy et qui ne soit pas à contre-courant de ses réformes comme par ces positions sur l’homoparentalité par exemple.
Nous avons besoin d’un Président qui sache rassembler autour de lui et cela afin que le Bureau National ne soit pas dans la cacophonie. Aujourd’hui, ce que les jeunes militants constatent chacun s’exprime comme il l’entend, comme cela est le cas au Parti Socialiste. L’Union doit prévaloir et non pas les ambitions personnelles de chacun. La fermeté et non pas l’autoritarisme doit revenir au sein de notre mouvement.
Le Président des Jeunes Populaires doit se dire qu’il œuvre pour la réélection du Président de la République et non pas pour sa carrière personnelle. Son but n’est donc pas de se chercher une circonscription pour s’y implanter.

C’est pourquoi celui-ci doit être un Président à plein temps et non pas un Président à mi-temps, je m’engage ainsi si je suis élu à être essentiellement au service de notre mouvement.

2) Populaires les jeunes de l’UMP ?

Soyons clairs, la réponse est sans appel : non. Pourquoi ? C’est bien sûr l’image qui est mauvaise, cette image qui nous colle à la peau. Le jeune de droite est coincé,  il est issu de familles aisées. Or est-ce le cas ? Pas du tout, alors effectivement on retrouve ces jeunes aux jeunes populaire, mais ce sont des jeunes ambitieux des jeunes dynamiques, intelligents, qui veulent faire avancer notre pays. Et, en somme les jeunes populaires ce n’est pas que des « jeunes coincé, fils à papa », les jeunes de l’UMP se sont réellement popularisés mais l’image n’est pas là.  La cause ? Un manque flagrant de contact avec la France, toute la France, de l’ouvrier au PDG d’une multinationale, du rural au citadin… Les jeunes populaires ne font plus de militantisme de terrain. Nous avons abandonné le terrain pour les bureaux des quartiers chics de l’ouest parisien. 
Si les jeunes pop’ restent au même endroit constamment personne ne saura quel message ils véhiculent. Il faut aller voir les jeunes, les écouter. Un bon militant pourra toujours apporter des réponses à ces problèmes, combattre les idées reçues, les mensonges perpétuelles de l’opposition.  Il faut être proche des jeunes !  Comment ? En  délocalisant les réunions des jeunes populaires au maximum, faire les marchés, le Président des Jeunes Pop doit lors de ces déplacements dans les fédérations prévoir un circuit qui puisse lui permettre de rencontrer les associations locales afin de lister leurs problèmes et leurs demandes, évidemment en le médiatisant dans la presse régionale …
Il faut arrêter avec les lipdubs et autres manifestations qui brouillent notre image, nous devons communiquer différemment.
Notre marque de fabrique est le sérieux et c’est dans ce domaine que nous devons communiquer. Ainsi, nous avons arrêté de parler de fond et de projet et cela afin de faire du « branché », seulement à ce niveau nous sommes totalement décalé, ce qui nous donne un côté ringard. Actuellement, nous donnons l’image d’une personne du 3ème âge qui souhaiterai s’habiller en « jean slim » tout en dansant la « techno » et qui s’exprimerai en « verlan ». Personne ne peut le croire.

 Il faut se rapprocher de tous les jeunes.

3) Les RDJ trop souvent en manque de leadership
Nos fédérations regorgent de RDJ très prometteurs et compétents en revanche ils restent un nombre de fédérations qui ont des RDJ peu convaincant, sans dynamisme, sans personnalités qui attendent des directives et ne prennent donc aucunes initiatives. Cette inertie qui les anime les mène à être totalement écartés des attentes et motivations des jeunes.
Cette inefficacité ne permet pas de créer une dynamique de groupe. Cela ne donne pas envie de s’investir et se battre pour nos convictions. Seul un leader peut permettre d’aller de l’avant comme l’a fait Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle.
 Or, le RDJ doit être le moteur du groupe ce n’est pas un chef mais bien un responsable ! Il doit être en réalité une sorte de manager. Le RDJ ne doit pas être RDJ par intérêt mais pour représenter les jeunes populaires de son département. Si le RDJ n’est pas bon, le groupe « jeunes » du département n’existe pas ou, est en déclin. Les jeunes sont démotivés et par conséquent ne renouvèlent pas. Si le RDJ lui-même n’est pas populaires…
Ces jeunes responsables font souvent un travail admirable ! Mais trop souvent ils ne sont pas légitimes…
Pourquoi ne pas élire nos responsables ? La mise en place d’une telle élection ne serait pas complexe. Une soirée, une urne, des bulletins, un vote. Cela permettra d’éviter de nombreux conflits, et les militants se sentiront utile. Car seul le vote permet de légitimer un responsable jeune.

Légitimer les responsables jeunes pop’.

Cyril LAURENT qui est un jeune sarkozyste de la Marne a imaginé un projet de réforme statutaire qui me paraît fort intéressant et qui permettrait à notre Mouvement Jeune plus de dynamisme.
PROJET DE REFORME STATUTAIRE
I. Un exécutif plus représentatif et mieux encadré.
               A) L’exécutif Départemental.
                               1°) Situation actuelle.
               - Chaque fédération départementale de l’UMP a un responsable départemental jeune (RDJ) chargé d’animer la fédération départementale. Le Bureau National des Jeunes Populaire en concertation avec les fédérations du Mouvement Populaire nomme les RDJ.
                               2°) Propositions.
               - Les RDJ seraient désormais élus par les adhérents jeunes populaires du département,  
               - Mise en place de Bureaux Départementaux (B.E.D.).
               B) L’exécutif de Circonscription.
                                1°) Situation actuelle.
               - Les statuts ne prévoient pas de poste de Délégué de circonscription. Il arrive que dans la pratique les RDJ nomment des Délégués de circonscription.
                                2°) Propositions.
               - Mise en place de Délégué de Circonscription Jeune (DCJ).
               - Les DCJ seraient nommés par le DDJ après dépôt de candidature, audition et avis conforme du Bureau Départemental.
               - Ils seraient chargé d’animer la circonscription dont ils ont la charge.
               
C) Les délégués cantonaux.
                              1°) Situation actuelle.
               - Les statuts ne prévoient pas de poste de Délégué cantonaux.
                            2°) Propositions.
               - Mise en place de Délégués cantonaux.
               - Ils seraient nommés par le DCJ après dépôt de candidature, audition et avis conforme du B.E.D.
II. Un véritable « Parlement » des Jeunes Populaires : le Conseil National.
               A) Les Conseillers Nationaux : acteurs essentiels.
                           1°) Situation actuelle.
                - Les Conseillers Nationaux Jeunes Populaires (CNJP) représentent 10% du nombre d’adhérents des Jeunes Populaires. Ils sont donc près de 3 000 CNJP. Ces derniers sont élus dans chaque département par l’ensemble des adhérents.
                               2°) Proposition.
               - Le nombre de Conseillers Nationaux doit être considérablement réduit pour aboutir à un organe délibérant à taille plus humaine.
               - 1 CNJP par tranche de 100 adhérents. Ce système permettra de passer de 3 000 CNJP à environ 300 CNJP. (Il faut bien entendu adapter ces chiffres aux réalités locales. Tous les départements ne se ressemblent pas notamment en termes de nombre d’adhérents).
               B) Le Conseil National : organe délibérant.
                             1°) Situation actuelle.
               - Les CNJP sont cantonnés à élire le Président National des Jeunes Populaires.
                               2°) Propositions.
               - Le Conseil National (CN) doit constituer une véritable assemblée délibérante au sein de notre Mouvement. Il doit s’apparenter au « Parlement » des Jeunes Populaires. Le CN doit fixer les grandes orientations. Ce doit être une instance de réflexion et de propositions.
               - Le CN se réunirait une fois par semestre pendant 2 jours (un week-end). Les CNJP seraient chargés de faire remonter les doléances des exécutifs locaux. Ils doivent travailler en synergie avec les différents Bureaux Exécutifs Départementaux. Ils y siégeraient de plein droit aux côtés du Délégué Départemental Jeune (DDJ) et des Délégués de Circonscription Jeune (DCJ).

4) Un manque d’identité de parti

Nous devons pour réussir mettre en place une réunion de travail par semaine. Les jeunes Français ont des activités sportives ou culturelles et ne sont en général pas mariés ce qui leurs permets d’être plus disponible. Ce rendez vous est un exemple simple mais le fait de donner des repères  « temporel » aux jeunes pop’ est important cela peut être une fois par semaine ou tous les 15 jours dans les petites fédérations !
Comme nous l’avons fait avec les jeunes Sarkozystes,  le contact est entretenu avec les militants un groupe soudé peut facilement se créer. C’est en fin de compte un groupe d’amis qui se crée. Ces réunions permettent de faire le point sur nos projets, sur l’actualité… Ont peut aussi y découvrir les « argumentaires » de la semaine de Luc CHATEL par exemple… Mais au niveau management elles ont surtout pour vocation de garder constamment le contact et créer un groupe homogène. Histoire de prouver tes talents de manager

Les jeunes qui adhérent à l’UMP, le font parce que des amis leurs en ont parlé, la carte du Mouvement matérialise cette adhésion mais souvent nous n’invitons pas les jeunes à découvrir notre charte. Bien sûr, ils connaissent les grands fondements de nos valeurs mais lire cette charte qui plus est n’est pas très longue et souhaitable. Chaque jeune adhérent pourra lors de sa première venue à nos réunions recevoir un « pack militant » pour porter nos valeurs (argumentaires, charte, autocollant, stylos) c’est n’est pas grand-chose mais les nouveaux adhérents pourraient y être sensible et cela concrétise physiquement leur engagement.

Il est nécessaire de fidéliser les jeunes de l’UMP.    

5) Les Jeunes Pop pas à l’image des jeunes de France

Pourquoi les jeunes français ne s’intéressent pas à la politique et encore moins à l’UMP ? Mais tout simplement parce que les jeunes populaires ne leur ressemble pas ! Sur 100 fédérations nationales combien de Responsables Départementaux Jeunes issus de la diversité ? Pas plus que les doigts d’une seule main. Et sur les 28 membres du Bureau National, combien sont issus de la diversité ? Une seule ! La Porte-parole.

Pourquoi n’y a-t-il pas de Délégué National en charge de la diversité ? C’est ce  que souhaite instaurer le Président de la République en essayant de promouvoir la diversité dans son Gouvernement avec Rachida DATI, Rama YADE, Fadela AMARA, Nora BERRA, ou bien les nominations de préfets issus de l’immigration comme Nasser MEDAH, les jeunes populaires eux s’en affranchissent !
Pourquoi dans l’organigramme des Jeunes populaires toutes les zones de la France métropolitaine ne sont pas représentées par un Délégué National alors que pour les DOM-TOM il n’y a personne ? Nos compatriotes ultramarins ne sont-ils donc pas des français à part entière ?  L’Outre-Mer, ce sont 3,5 millions de Français dont plus d’1 million vivent en métropole !
Sur 28 membres du Bureau National près de la moitié vient de Grandes Ecoles. Est-ce vraiment cela la représentativité des jeunes Français ?
Alors que 10 % de nos jeunes compatriotes sont en situation de handicap que cela soit physique ou moteur pourquoi personne dans le Bureau National n’est en charge de ces questions ? Où sont les jeunes issus des quartiers, de la diversité, du milieu rural, des filières techniques, en situation de handicap etc ? Partout sauf chez les Jeunes de l’UMP.
La politique chez les Jeunes populaires si je comprends bien n’est que pour les jeunes de type européen, venants de grandes écoles, valides et habitants l’ouest parisien ?

Les Jeunes Pop doivent ressembler aux jeunes Français.

6)  Les partis jeunes associés méprisés

L’UMP n’est pas un bloc monolithique, toutes les sensibilités allant du centre gauche à la droite sont représentées. C’est ce qui fait notre force par rapport aux autres partis français. Ainsi, les mouvements jeunes associés tel les « Jeunes du Parti Chrétien Démocrate », les « Jeunes Réformateurs », les « Jeunes Radicaux », les « Jeunes Progressistes », etc. sont une richesse importante pour notre parti. Ils représentent un bon nombre d’adhérents au sein des Jeunes Populaires. C’est ce qui nous permet de nous rassembler et donc de créer les majorités les plus larges possibles et une force d’action et d’idées  supplémentaire. Il est ainsi fini le temps où nos familles politiques respectives partaient aux élections chacun de leur côté.
Seulement, au sein des instances jeunes populaires ces mouvements sont méprisés et sous-représentés alors que l’UMP laisse une importante liberté de ton et un maximum de places possible à nos partenaires.
Comment veut-on donc qu’un jeune ayant une sensibilité plutôt de centre-gauche vienne chez les jeunes populaires, si ces derniers musèlent les « Jeunes Progressistes » ? Comment peut-on avoir le vote des jeunes chrétiens, si les Jeunes Populaires sans consulter personne et donc les mouvements associés se prononcent en faveur  de l’homoparentalité ?
Alors que nous avons un exemple de synergie efficace par le comité de liaison des mouvements associés créé par l’UMP, dirigé par Jean-Claude GAUDIN qui se réunit régulièrement, travaille sur tout type de sujet, prépare l’avenir. Les membres de ce comité en sont d’ailleurs très contents, ils n’en disent d’ailleurs que du bien comme vous pouvez le voir dans la presse. Alors pourquoi le président des jeunes pops ne prend il pas exemple sur ces ainés et surtout sur ce qui marche dans notre famille politique ?

Seulement, celui qui est consacré aux jeunes est totalement inexistant. A en croire les membres de ce comité de liaison jeune, ils ne se réunissent que très rarement, et quand ils le font, les propositions des mouvements associés ne sont pas prises en compte voir parfois nargués. Depuis 2008, pas de grands événements avec les mouvements associés, pas de tracts commun, pas d’action commune etc. Rien ne montre que les Jeunes de l’UMP sont un mouvement d’Union de nos familles politiques respectives. Pourquoi affaiblir notre mouvement de la sorte alors que par le passé nous nous sommes rendus compte que c’est une force ?

Pour réussir ensemble nous devons respecter les mouvements associés.

7)  Concurrence inutile avec les jeunes de l’UNI

Il y a encore une autre action insensée comme avec le syndicat étudiant l’UNI ou le futur M-ét fait parti intégrante de la Majorité Présidentielle. Depuis 1968 l’UNI seul syndicat étudiant de droite, dont j’ai par ailleurs été responsable sur ASSAS, soutien les réformes des gouvernements de droites respectifs. L’UNI a formé quantité de dirigeants actuels de l’UMP. L’UNI est un allié et non pas un concurrent. L’UNI c’est 40 000 adhérents actifs. Ce qui est tout de même un chiffre important.
Alors pourquoi les Jeunes Populaires ont-ils créé la structure UMP Campus ? La place des Jeunes Populaires en tant que telle n’est pas dans les facultés. Les Jeunes Populaires en tant que parti politique ne peuvent se présenter à des élections étudiantes, ils ne peuvent donc siéger au Conseil d’Administration d’une faculté, ou dans un UFR. Ainsi, la structure Jeune Populaire est totalement inutile dans une faculté puisque nous n’avons pas les moyens d’influer sur le bon fonctionnement d’une université et cela au contraire d’un syndicat étudiant. Je peux donc affirmer sans me tromper que c’est de la perte d’énergie et de la concurrence d’un allier sans aucune légitimité. Même avec beaucoup de réflexion je n’arrive pas à voir quel avantage nous avons de nous auto concurrencer et de nous affaiblir de la sorte !
Car que cherche un étudiant ? A ce qu’un responsable d’un syndicat puisse l’aider dans ces démarches que cela soit pour ces études, logement, bourses etc. Car le syndicalisme étudiant n’est pas notre métier, et nous n’avons d’ailleurs pas été créés pour cela. Tout comme l’UNI n’est pas un parti politique, et doit se consacrer à sa mission à l’égard envers les étudiants. Alors rien n’interdit aux Jeunes Populaires d’organiser en commun certaines actions, de s’apporter des soutiens mutuels, de les aider à composer des listes dans certaines facultés etc.
Beaucoup de jeunes populaires sont aussi membre de l’UNI. Nous ne pouvons donc pas avoir une attitude schizophrène comme c’est le cas actuellement en se concurrençant de la sorte, surtout si cette compétition est malsaine.
Nous devons travailler en harmonie avec le M-ét et  non se positionner comme rival. 
8)  Manque de travail avec les partis jeunes européens
L’Europe est indispensable à la France. Sans l’Europe nous serions totalement démunis face à la crise financière, ou face à la crise écologique. L’Europe nous protège et nous permet de vivre en paix avec nos voisins. L’Europe nous permet de parler d’égal à égal face à des puissances comme les Etats-Unis, la Chine, l’Inde, la Russie, le Brésil etc.
Nous avons créé l’Europe économique, nous avons installé l’euro. C’est un succès cela est indéniable que nous ne retournerons pas en arrière. Maintenant, il s’agit de construire l’Europe politique ce que nous n’avons pas encore réussi à réalisé ou partiellement.
Il est évident que cette Europe politique se fera à travers les jeunes européens de ma génération et de celles qui arrivent. Nous les jeunes populaires, devons promouvoir l’Europe auprès de nos jeunes concitoyens. Leur expliquer, leur démontrer que la France seule ne peut rien et qu’uni nous aurons une voix prépondérante dans le monde.
Comment se fait-il que nous n’avons jamais fait de rencontre avec les jeunes des partis européens ? Il est vrai que nous avons la présidence du YEPP, mais cela concerne seulement une petite élite.
Comment pouvons nous intéresser à l’Europe, si nous ne connaissons pas nos homologues européens ? En les rencontrant nous pourrions apprendre beaucoup d’eux. En les rencontrant nous pourrions tisser des liens importants pour les années à venir que cela soit politique, ou économique.
Nous pourrions d’ailleurs porter avec les responsables des partis jeunes européens porter au Parlement Européen une grande proposition de loi pour la jeunesse du Continent.
Au lieu de cela, nous préférons rester dans notre coin à régler des problèmes franco-français alors qu’aujourd’hui les problèmes sont au mieux européens et que les réponses que l’on doit donner sont mondiales. Nous devons nous ouvrir aux autres pays Européens, car c’est de notre avenir qu’il est question.

De plus, cela nous permettra de montrer l’exemple à nos citoyens Français qui s’intéressent à l’Europe.

Travailler au maximum avec les partis jeunes européens.

9)  Pas de proposition phare pour la jeunesse française

Les jeunes français connaissent les jeunes populaires ou du moins ils savent que l’on existe. Mais ils ne connaissent pas notre message. Ils ne savent pas ce que nous défendons, ce que nos sont nos valeurs, pourquoi nous nous engageons aux côtés de Nicolas SARKOZY. Sur le terrain des idées nous avons perdu, puisque aucune proposition importante n’est venue de nos rangs.

Les jeunes dans les décennies précédentes se battaient pour que toute personne dès 18 ans puisse voter, contre le racisme,  etc. La jeunesse française quelque soit l’époque a toujours porté un projet phare. Elle a même lutté pour cela.

Chez nous les jeunes pops en 2010, n’ont rien fait du tout. Encore une fois, seulement des livres blancs en pagailles comme lors du Projet « les Pépites de la Nation » qui en soit était un très bon projet et des catalogues entiers de petites propositions qui ne servent à rien et dont personne ne se souvient, tout cela est à l’image du programme de Ségolène ROYAL.

Cette multitude de propositions ne sera jamais reprise par le législateur, c’est mentir à nos adhérents que de le leur faire croire, et nous perdons de notre crédibilité face à nos troupes.

Comment donc veut-on que les jeunes français se reconnaissent en nous si en plus de ne pas être représentatif nous ne défendons rien en particulier ?

L’UMP, grâce au travail du Président de la République a gagné sur le terrain des idées, de l’idéologie, et des valeurs. Nous devons reconquérir cela. Ainsi, les jeunes doivent se dire qu’en adhérent chez nous les jeunes populaires, ils défendront un sujet majeur pour la jeunesse. Et indépendamment du fait qu’il sait qu’il doit défendre la politique du Président de la République, il sait qu’il lutte pour une réforme qui lui tient à cœur, une réforme qui peut changer la vie de millions de nos jeunes compatriotes.
Un adhérent doit se sentir utile, doit se dire que la société bouge grâce à l’action qu’il mène, qu’il a été acteur de sa propre destinée. Il est fini le temps où le jeune militant était spectateur de la politique. Il doit aujourd’hui se sentir concerné, sinon nous le perdrons et il militera dans l’associatif, et cela comme des centaines de milliers de jeunes français.
C’est une véritable bataille qu’il nous faut mener ceci pour le bien de notre génération.

Porter un projet phare pour la jeunesse


B) Des atouts particuliers.
Les Jeunes Populaires ont aussi des atouts, l’ensemble de la structure Jeune Populaire n’est pas à jeter mais à améliorer. Le bilan général n’est pas bon même si l’ensemble du travail des Jeunes Populaires n’est à bannir. Seulement, nous devons avoir une exigence supérieure vis-à-vis de notre mouvement jeune. Nous ne pouvons pas être juste moyen et c’est ce que nous somme actuellement, nous devons être proche de se qui rapproche le plus de la perfection. Si nous persistons à nous regarder le nombril ce sera un socialiste qui logera à l’Elysée.

Les atouts que nous possédons doivent être conservés mais surtout amélioré et je m’engage à poursuivre dans cette voie. Ainsi, il est primordial de connaître ses défauts pour les corriger mais aussi de connaître ses atouts pour les optimiser au maximum.

1)   Une force web importante.
C’est un fait, les jeunes sont sur le web, et particulièrement les jeunes de droite. Plusieurs études d’ailleurs démontrent, par exemple que Facebook compte plus de jeunes à droite qu’à gauche or, les jeunes en général sont plus à gauche.
La IFORCE créé par l’équipe, j’en conviens est une franche réussite. Et il faudrait que je fasse preuve d’une certaine mauvaise foie que de dire le contraire. La IFORCE a su tirer profit de ce fait, les jeunes de l’UMP sont partout sur le web, partout et c’est une très bonne chose ! Facebook en premier lieu, notre présence est flagrante,  d’ailleurs ce n’est pas un fait négligeable, loin de là. Notre présence est utile. Si quelqu’un en sait quelque chose c’est bien l’actuel Président des USA, car sa stratégie internet lui a permis de convaincre 30 % des américains…
L’internet est un outil de travail, un loisir, mais aussi une source d’information  de plus en plus importante de nombreux sondages le prouvent de plus en plus de français s’informent sur l’actualité via le web. Notre plateforme internet est probablement la meilleurs en politique elle nous permet d’informer, de faire adhérer. Même si nous pouvons regretter que les jeunes populaires n’aient pas pris plus tôt le wagon du réseau sociale. Avec le Mouvement National des Jeunes Sarkozystes nous avons dès juin 2009 choisi l’outil du réseau social, coupant ainsi l’herbe sous le pied des socialistes. Aujourd’hui notre réseau social compte près de 5 000 membres soit à peine 1 fois de demi moins que « les créateurs du possible » mais pour un coût 150 fois inférieur.
Nous avons permis à chacun sur notre site de pouvoir créer un blog personnel avec une adresse de type « xxx.jeunessarkozystes.fr » tout en laissant une liberté maximum avec un minimum de modération bien sûr. Près de 3444 blogs ont ainsi été créés, et les jeunes qui avaient besoin de s’exprimer ont ainsi pu le faire à travers la toile mais sur un réseau jeunes sarkozystes. Cette technique nous permet d’être mieux et plus vu sur la toile puisque chaque blog créé donne doit à plus de visibilité sur google. D’ailleurs je suis assez satisfait que cette idée ait été reprise par les jeunes populaires. Cela montre que mes idées sont bonnes.   

L’internet doit nous permettre d’ouvrir le débat à tous que l’on soit des centres villes, des banlieues ou des campagnes sans exclure personne. Nous devons aussi adapter le militantisme au profil de chacun, en se disant que tout le monde n’est pas fait pour être sur le terrain auprès de nos jeunes concitoyens. Certains, ont beaucoup d’idées, et veulent les exprimer sur un marché, d’autres dans des débats et des cafés politiques etc. Tous les profils doivent être incorporés et l’internet et un fabuleux outil pour cela.
Cette force va nous permettre de construire un véritable laboratoire d’idées.
Enfin, l’intranet jeune populaire permet de donner un plus aux adhérents. Dés lors que nous y accédons nous avons accès à des outils de campagne performant.

Conservons notre rang sur la toile tout en nous améliorant constamment.

2)   Une école de formation interne performante.
Si à mon sens il manque une véritable formation au militantisme (comme le faisait parfaitement l’UNI, par exemple). Les jeunes populaires sont dotés d’un véritable outil de formation politique, même si ces cours ne nous apprennent que les bases du métier, ils sont très bien fait et nécessaire.
Un jeune formé au discours politique, à la prise de parole en publique, à la rédaction politique, au marketing politique est armé pour faire face à la contestation. Un tel jeune peut répondre intelligemment à des contradictions infondées. Non formé la tâche est plus difficile, la prise de parole hésitante, et l’argument ne passe pas.  
Nous devons donc améliorer nos formations et les rendre encore plus pointus.
Les Jeunes Socialistes possèdent cet outil depuis plus longtemps que nous. Et même si le leur est plus performant et plus systématique dans le temps, celui des Jeunes Populaires est comme même d’un bon niveau.
Cette offre de cours, de formations était une attente des militants. Aujourd’hui cet outil réservé aux adhérents est très apprécié dans l’ensemble, doit être poursuivi à l’avenir et je pense qu’il doit être intensifié. Même s’il est évident que pour des raisons de coût cela peut être difficile à réaliser.
Pour cela je pense que l’on peut toujours créer des formations de type pyramidal, c’est-à-dire qu’un professionnel forme les RDJ. Puis ces derniers formeront leurs responsables de circonscriptions jeunes qui formeront à leur tour le reste des troupes.

Utilisons nos formations comme argument d’adhésion.

3)  Une structure UMP-Lycée qui marche

Force est de reconnaître que la plus grande réussite de l’actuel direction des Jeunes Populaires est la structure UMP-Lycée, surtout dans sa première année. Nous avions pendant des années laisser de côté au profit de l’extrême gauche la tranche d’âge des 16-18 ans. Ceux qui dans 2 ans seront en âge de voter Nicolas SARKOZY aux prochaines présidentielles. Nous avons fait de gros efforts auprès d’un public qui était loin d’être acquis à notre cause et force est de constater que cela ne marche pas si mal.
Seulement, certaines faiblesses existent encore sur le travail fait auprès des lycéens français. D’abord nous n’avons pas laissé cette structure se bâtir dans le temps, puisque son président a été démis de ses fonctions non pas pour travail insuffisant mais parce qu’il a réussi son bac et du coup il n’était plus lycéen. Ce qui est un non sens complet. Du coup cela a cassé une dynamique positive. Si nous allons dans cette logique nous devrions démettre de ces fonctions un Délégué National de Zone qui n’habite pas la région dans laquelle il a l’autorité et cela existe.
Où alors pourquoi un Délégué National de 26 ans est encore responsable du Pôle étudiant, car à cet âge-là on n’est plus étudiant ou alors on est en retard dans son cursus ?
Deuxième faiblesse, nous n’investissons pas dans les lycées techniques et concentrons nos forces essentiellement sur les lycées d’enseignement générale. Il est vrai que la structure « filière professionnel » a été créé pour pallier cette faiblesse mais celle-ci est totalement inexistante, et n’est pas incorporé dans la structure UMP-Lycée mais elle est totalement indépendante. Le Président des Jeunes Pop a donc créer 2 mouvements indépendants l’un de l’autre en faveur des lycéens, ce qui dans la logique est complètement idiot. Alors que l’on pourrait mutualiser les forces de chacun pour parler aux lycéens, on créer 2 discours différents et cela juste pour enlever du pouvoir aux responsables respectifs.
Quels est l’intérêt de cela pourquoi une action positive est elle rendue si obtus ?

Créer un unique mouvement en faveur des lycéens qu’il soit  général ou  professionnel créer une synergie pour plus d’efficacité et de retour de l’information.

Alors ? En forme les jeunes populaires ?

Non, les jeunes populaires ne sont pas globalement en forme. Mais ils leur restent de l’énergie, beaucoup d’énergie or pour libérer cette énergie positive que possèdent nos jeunes populaires, un changement de stratégie, devrait être étudié.
Ce changement mon équipe et moi-même nous l’apportons. Mon expérience acquise au cours de toutes ces années de militantisme de terrain, d’ancien responsable étudiant, d’ancien responsable départemental jeune populaire, de travail comme assistant parlementaire à l’Assemblée Nationale ou au Sénat, de délégué UMP de circonscription mais aussi de responsable d’une grosse structure jeune qu’est le Mouvement National des Jeunes Sarkozystes je veux l’apporter pour ma famille politique.
Afin de l’aider à se structurer, à s’agrandir au maximum, à s’ouvrir aux autres, à ceux qui ne nous sont pas acquis d’office comme le souhaite et le réalise le Président de la République.
Nous devons par nos actions intéresser les jeunes français à la politique de leur pays, à la vie citoyenne de leur pays.
Mais nous devons changer nos méthodes, changer notre communication. Nous devons investir les quartiers, investir les centres-villes, investir les campagnes, investir les lycées, investir l’internet, investir les médias. Nous devons déployer nos forces pour attirer le maximum de jeunes et les convaincre que notre mouvement répond à leurs inquiétudes.
Nous devons arrêter avec notre mépris pour les mouvements associés, arrêter le mépris envers ceux qui ne nous ressemblent pas.
Nous devons arrêter d’être un parti jeune monolithique, venant des mêmes coins, ayant la même formation, la même origine, les mêmes idées. Car il nous faut réunir et non pas diviser.
Ouvrons le débat au maximum au sein des Jeunes Populaires et cela comme le souhaite le Président de la République.
Je n’invente rien c’est cette stratégie qui a permis à Nicolas SARKOZY de gagner en 2007 et qui nous a permis d’avoir 45 000 adhérents, c’est ce que nous les jeunes populaires devront faire afin de remporter une victoire éclatante face à la gauche en 2012.
Les atouts sont là, les failles, les problèmes, ont leurs solutions, le bateau tangue, mais il ne doit pas couler et je ne le laisserai pas couler !
Dans une campagne électoral les jeunes jouent un rôle primordial, les élus doivent le leur dire, les encourager, les jeunes de l’UMP doivent se sentir écouter, entendus, utile.

Le militant est roi ! Nous devons être une référence pour les jeunes !


Conclusion générale 
Je suis un homme de principes et de convictions. Je ne peux me résoudre à voire une jeunesse de droite abandonner sa famille politique pour un malentendu, un manque de communication alors que nous répondons parfaitement à leurs attentes. Je me tue à le répéter sur le terrain et à travers les Jeunes Sarkozystes mais seul la présidence des jeunes pop me donnera les moyens de résoudre se problème.  
J’envisage ma candidature comme un devoir et une opportunité. Mon devoir est de ne pas laisser les jeunes de droite fuir notre famille politique parce qu’ils ne se reconnaissent plus dans les leaders des jeunes pop. Et grâce à mon expérience et les faibles moyens dont j’ai disposé  pour développer de manière optimale les Jeunes Sarkozystes. J’ai aujourd’hui l’opportunité de relancer efficacement avec des moyens financiers humains et technique le mouvement des jeunes populaires. 
Je relèverai ce défi avec panache car je suis habité par la même passion qui m’anime tous les jours à défendre notre famille politique, à convaincre les citoyens et à recruter de nouveaux adhérant sur toute la France. Je m’engage avec assurance car c’est quelque chose que je sais faire et notre mouvement jeune à besoin d’un vrai leader motivé et organisé.  
Ma principale référence politique est Nicolas Sarkozy.  C’est pour moi l’exemple dont j’essai constamment de m’imprégner dans chacune de mes actions politiques. Je pense que cette dernière affirmation vous laisse augurer du travail que je souhaite mener à la tète des jeunes pops.